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Traquenard à Tachkent

(Polar pourri)

Tous les enseignants français (une trentaine dans quatre villes d’Ouzbékistan) ont été convoqués par le ministère ouzbek à Tachkent, la veille pour le surlendemain.

L’administration ne s’est pas préoccupée de savoir si on trouverait des billets de train… certaines personnes venant de plus de 400km.

J’ai pu avoir un billet dans un train de nuit pour être à leur réunion le matin à Tashkent… dans un lieu qui a changé 2 fois et dont on a eu l’adresse que le soir précédent, voire pour certains le matin même.

Le groupe des enseignants de français se réduit comme peau de chagrin avec des gens qui jettent l’éponge et donnent leur démission. Restent les plus opiniâtres, doués d’assez de sens de l’humour et de curiosité…

Bref, j’ai fait 3 fois le tour de Tashkent, en bus, en métro et en taxi, ce qui fait pas mal de kilomètres.

Je n’ai pas, mais pas du tout, aimé Tachkent.

Des avenues à 8 voies, des kilomètres pour traverser la ville.
Des taxis chers par conséquent.

Toute épopée urbaine à pied est risquée et sans intérêt.

Michio est resté à Samarcande, évitant judicieusement ce traquenard coûteux (non remboursé).

(Les panneaux signalent une école en montrant des enfants qui courent pour traverser la rue !)

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